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Avoir de grands rêves

Lorsque nous analysons notre travail, il est souvent bien trop facile de nous arrêter à ce qui ne va pas. Il existe néanmoins une alternative bien plus constructive : l’approche de l’enquête appréciative.

2017 Disponible en Anglais, Français, Espagnol et Portugais

Des magazines Pas à Pas en français, espagnol, portugais et anglais, étalés sur un bureau en bois.

De : Impact et changement – Pas à Pas 100

De quelle façon un changement positif se produit et comment le mesurer

Vous sentez-vous revivre lorsque quelqu’un vous encourage ? Jetez un œil à cette merveilleuse photo de Lo (à droite), applaudi par les autres participants. J’aime l’expression de joie qui éclaire son visage.

Richard Lister Tearfund

Lorsque nous analysons notre travail, il est souvent bien trop facile de nous arrêter à ce qui ne va pas. Nous finissons ainsi par nous focaliser uniquement sur les points négatifs. Il existe néanmoins une alternative bien plus constructive : l’approche de l’enquête appréciative.

J’ai récemment appliqué les principes de l’enquête appréciative lors de deux ateliers en Chine. Nous avons suivi quatre étapes :

Méditation : Que nous enseigne la Bible au sujet des choses sur lesquelles nous travaillons ?
Réjouissance : Jusqu’ici, qu’est-ce qui fonctionne vraiment bien dans notre travail ?
Rêve : Qu’aimerions-nous voir se produire à l’avenir ?
Conception : Quelles mesures pouvons-nous prendre aujourd’hui pour progresser dans la réalisation de ce rêve ?

L’intérêt de cette approche est qu’elle est axée sur le positif. Comme nous l’enseigne la Bible, nous devons nous encourager les uns les autres (Hébreux 10:25). Cette approche permet aux participants de se détendre, déjoue les attitudes défensives et encourage les gens à avoir de grands rêves et à prendre des risques. En collant au mur des notes adhésives de ce que nous avons appris, tout le monde a pu prendre conscience du chemin parcouru.

L’enquête appréciative peut être bien plus développée que cela. Mais avec le temps, j’ai souvent constaté que le simple fait d’utiliser les quatre mots clés ci-dessus suffisait. Je les ai par exemple utilisés pour structurer une évaluation, un bilan des connaissances acquises, le retour d’information lors d’une visite de projet, et même la plus simple des conversations. Mon désir est que les gens repartent avec le sourire, prêts à poursuivre leurs rêves.

Richard Lister est responsable Église mondiale et développement pour Tearfund.
Email : [email protected]
Blog : www.churcheschangingnations.blogspot.com